Le Japon n'a pas connu écrivains n'existe pas de la marijuana?

Oiseaux ASKA manger de la glace en raison d'une combinaison de membres ont été arrêtés par la police japonaise, et maintenant une variété de médicaments au Japon a montré une tendance généralisée dans le passé a été désigné comme un médicament au Japon, d'abord identifié, puis de souffler, de sorte que le nom d'une variété de nouveaux médicaments l'émergence du nom de produits, tels que la lutte contre le sans drogue dans la police, mais encore des médicaments, de sorte devenu: décapage des médicaments (de la loi), mais Femme Jordan Chaussures ce médicament est ingrédients très problématiques, plusieurs incidents récents à Tokyo, au Japon, est tout à cause de décapage de la toxicomanie provoquée par le problème de la drogue fait rage face le gouvernement japonais, même dans plusieurs Henzhao: A) l'original de France le nom du médicament aux médicaments dangereux, pas les gens quittent les choses au hasard 2) réduire le temps d'identification de médicament, si le médicament a une structure similaire, peut être partout. Et peut être identifié si c'est après le premier dopage de lutte. Le gouvernement japonais redouble d'efforts pour mener des activités dans la lutte contre la drogue, l'histoire de la drogue des écrivains les plus célèbres du Japon soudainement été exposé à des médias japonais, de sorte que Nike Zoom KD V Elite+ le public japonais de la propagation de la drogue pour l'intérêt de l'industrie du divertissement, aller à l'attention de l'auteur à l'usage de drogues. Le célèbre écrivain du prix Nobel de littérature est l'écrivain japonais Haruki Murakami récemment. Le Japon n'a pas connu écrivains n'existe pas de la marijuana? - De Haruki Murakami appelé sur l'écrivain japonais Haruki Murakami drogue      Murakami non seulement au Japon mais aussi dans le monde a une cote élevée, publié l'an dernier, "il n'y a pas de couleur pluriannuel Kawasaki et son pèlerinage" ventes a dépassé le million au Japon. 2014 a également publié un "hommes sans femmes", le premier jour effectivement vendu 300.000 au Japon, tels que le haut rendement auteur à succès, a été signalé médicament incroyable.     A été appelé à éclater vie privée hebdomadaire "Asahi Arts" publié Nike Zoom KD VI la semaine dernière a publié un article dans le numéro combiné, "Haruki Murakami ivre, participer marijuana parti en Allemagne", dans ce magazine, le héros semble Murakami enivré par les photos de cannabis publiés dans des endroits visibles. J'ai appris que la source de cet article est de décrire le photojournaliste Schneider allemand, il ya 30 ans, Murakami a visité l'Allemagne, une journée au club de la banlieue de Hambourg, en Allemagne, dans une interview à coïncider avec les jours de repos. Ainsi, le propriétaire du club a invité sa propre maison de village, si l'écrivain Murakami, plus la traduction, Schneider et photographe japonais de voyager ensemble, où le propriétaire du club a demandé Murakami marijuana maintenant: que diriez-vous si vous le pouvez, essayer?     Traduction également demandé Murakami: la marijuana vous n'avez pas de problème?     Murakami ne semble pas répondre à des questions comme: Oh, si c'est de la marijuana, je l'aime.     Schneider dans le prochain a écrit: Parce que je veux conduire un véhicule, il n'a pas participé à la fête de la marijuana. Et Murakami dans flottant fumée violet, n'hésitez pas à en abuser, et est rapidement devenu un enivrant Nike Zoom Solider 7 comme. Et, Murakami dans une pièce sombre, je ne sais pas pourquoi, refusé d'enlever les lunettes. Ainsi les photographies de scène qui deviennent des participants très heureux assis ensemble, tandis que Murakami est un homme, baissa la tête comme si seul dans méditant le goût tentant. Retour au Japon après l'écrivain a publié la fameuse "fin du monde et impitoyable au pays des merveilles», qui avait pour thème de la marijuana, et également répondu aux nombreuses questions des fans Murakami, pourquoi maintenant le magazine il ya 30 ans quand les choses deviennent est sorti et a dit que le problème. Le Japon n'a pas connu écrivains n'existe pas de la marijuana? - A partir de la soi-disant médicament Haruki Murakami Haruki Murakami rapporte le magazine hebdomadaire    Par exemple lorsque "de lui trouver un chat de motif de remous", la Haruki Murakami a parlé de sa vie aux États-Unis, la marijuana, ce genre de chose il ya longtemps, je ne suce pas ... sucer .. peut-être très exagéré, mais avec l'expérience que la marijuana est beaucoup moins nocif que le tabac devrait, dans le texte va révéler une partie de leur passe-temps habituel. Il s'agit d'une des œuvres marquantes sont appelés "IQ84" de Murakami. Tengo héros de sa propre expérience pour parler de la marijuana quand il de cette façon: mon cerveau secouant. Une telle description du point de vue des professionnels, des gens qui n'ont pas l'habitude écrire cette déclaration.    Beaucoup de fans Murakami ne peuvent pas accepter le grand grand écrivain M. Murakami antisocial --- marijuana acte. Surtout dans le récent jeunes lecteurs les plus durement touchés, parce que maintenant la police japonaise pour la gestion de la consommation de drogues est très stricte, si peu déviant seront arrêtés, va ruiner. Mais n'oubliez pas où Murakami, puis flambée mouvement étudiant à 2014 Air Foamposite One "Metallic Rouge" l'université, mais aussi des années sont devenus hippie populaire, le mouvement hippie propagation aux États-Unis, le Japon, les étudiants japonais ont le sentiment d'être libéré, quand faire des choses qui ne sont pas déraillé Il ya le mal sentiment. En 2-30 ans, thé Tokyo Shinjuku Orchard Garden, où les jeunes peuvent facilement obtenir de la marijuana, de nombreuses personnes prennent le dessus, il n'y a pas de culpabilité.    En d'autres mots, l'écrivain de cette époque (des travailleurs culturels) si vous n'avez pas connu l'expérience de la marijuana illégale, il sera perçu comme non ouvert, pas d'avant-garde. C'est la culture de la culture, alors dans l'esprit des lettrés avec des hippies. En d'autres termes, l'un des soi-disant vérité découvert il ya 30 ans, est maintenant considéré à se produire époque, peut-être Haruki Murakami participer à la soi-disant parti de la marijuana, ce qui pourrait arriver dans ce milieu. Mais les fouilles il ya d'autres parties de la vérité n'ont pas écrit, comme dans d'autres éditeurs ne sont pas ouvertement écrire ces articles minières histoire.    S'il vous plaît noter que les «arts Asahi," la maison d'édition se comprendre, au cours des dernières années émises par Haruki Murakami fonctionne presse n'est pas détaché, comme "Fashion Week" Shinchosha raison de la publication continue 2014 Air Foamposite One Blanc/Summit Blanc de "Kafka" "IQ84", etc œuvres représentatives, tout d'abord de ne pas tomber leur propre marque, pour soutenir les victimes de leurs propres auteurs. Deuxièmement Printemps littéraire "article de magazine de Printemps", car la publication de "pas de couleur pluriannuel Kawasaki pèlerinage avec ses" derniers "hommes sans les femmes" ne sont pas. La publication des premières œuvres de Haruki Murakami et beaucoup mi Kodansha "Modern Weekly" ne se vendra pas.    La vie privée de l'auteur et de la vie privée des éditeurs de l'écrivain, les journaux et les stations de télévision ne seront pas impliqués, et cela n'a rien à faire, "Asahi arts" ne peuvent être publiés avec la littérature, parce qu'ils ne comprennent pas les intérêts des romans de Murakami ne sont pas publiés, de sorte qu'il peut être sans scrupules scandale de l'exploitation minière. Après la publication de ce rapport, "Asahi" Arts cabinet Murakami contact pour confirmer que ce n'est pas le fait que l'entreprise est cette réponse: voyage, Tsuzuki montage sonore et de l'action de M. Murakami, ce lieu ne savait pas la marijuana, ainsi que des photos chose est possible. Le photographe allemand Schneider a 2014 Air Foamposite One Noire Rouge déclaré dans Voyage, n'ont pas vu ce montage sonore appelé Tsuzuki.    Selon mon enquête, ce "arts Asahi», le rapport n'a pas suscité l'attention du lecteur, et peut-être d'autres magazines hebdomadaires ignorent délibérément ce fait à cause de cela.